L'émigration américaine a souvent été une quête de liberté. Aux siècles suivants l'indépendance, de nombreux américains ont mis leurs pas dans ceux de Benjamin Franklin.
Depuis 1850, les américains trouvent à Paris un espace de liberté, de créativité et de plaisir. "Paris est une fête", pour Ernest Hemingway et tous les plaisirs sont permis, avec les nouveaux produits de consommation. De nombreux artistes et intellectuels de cette "Génération perdue", d'après la Grande Guerre, ont bousculé les carcans de l'Ancien monde.
Quelques jeunes américaines par la danse et l'écriture ont participé à la libération de la femme. La Loïe Fuller, Isadora Duncan ou Joséphine Baker ont fait sauter les carcans du ballet classique.
Les garçonnes ont poussé encore plus loin la subversion, telle que Gertrude Stein ou Nathalie Clifford Barney, en revendiquant leur homosexualité.
Pour les noirs américains, la France devient l'eldorado où la ségrégation n'existe pas. Les musiciens de jazz, les intellectuels noirs et la provocation de Joséphine Baker en sont l'illustration.
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